Quels savoirs depuis la précarité ?
Comment produire la connaissance dans un contexte de précarité qui affecte les chercheurs, les acteurs culturels, la société de manière générale, et où la mobilité, contrainte ou non, est devenu un trait majeur de nos vies contemporaines ?
Valérie Jeanne-Perrier et Joëlle Le Marec, enseignantes et chercheuses au Groupe de recherches interdisciplinaires sur les processus d’information et de communication (GRIPIC) du CELSA à Paris, ont organisé, du 14 au 16 mars dernier, un séminaire international pour questionner ces rapports au savoir marqués par l’empêchement et la vulnérabilité. Y participaient des intervenants venus du Chili, d’Inde, des universitaires turcs en exil, et la romancière Karine Tuil.
Le programme à télécharger ici.
Comment repenser les catégories normatives ? À quoi être sensible ? Comment développer d’autres points de vue sur la société ? Et comment faire de la recherche autrement ?
Les explications de Valérie Jeanne-Perrier et Joëlle Le Marec.
Propos recueillis par Kenza Sefrioui